La période s’annonce particulièrement sensible, tant sur le plan climatique que géopolitique. Ces cinq journées concentrent une énergie instable, excessive avec un potentiel destructeur.
- Période de décisions radicales, précipitées ou tranchantes.
- Conflits d’autorité, répression, coups de force politiques ou militaires possibles.
- Fort danger de rigidité mentale, d’intransigeance, ou de parole blessante.
- Incendie soudain, accident par explosion.
- Violente répression de manifestations
Le 23 juin, un contraste brutal entre chaleur et eau abondante augmente les risques d’orages violents, de crues soudaines, voire de tornades dans certaines régions. Le sol gorgé d’humidité pourrait céder, favorisant glissements de terrain et inondations locales.
Sur le plan social, les tensions se manifestent à travers des mouvements de contestation grandissants.
Le 24 juin, est une journée critique portant une énergie violente que l’on pourrait associer à des catastrophes climatiques, des tensions géopolitiques accrues, avec des manifestations d’ampleur, des heurts probables entre les manifestants et les forces de l’ordre, et une forte opposition peuple–État–autorité. Le climat global devient lourd et une escalade militaire importante n’est pas à exclure.
Le 25 juin, les évènements ralentissent en apparence mais les tensions restent présentes… bloquées, figées, non-résolues mais existentes et instables.
– Le climat est propice aux effondrements, glissements de terrain et prémice d’une vague de chaleur… – Sur le plan social, le dialogue semble bloqué, les rapports de force figés, les tensions non résolues. Les négociations internationales s’annoncent lourdes, chargées de non-dits, et risquent de déboucher sur des crispations durables plutôt qu’une résolution.
Ainsi, cette séquence de cinq jours concentre des tensions climatiques et des conflits humains. À surveiller de près, tant pour la sécurité des populations que pour la stabilité mondiale.
Elemundis - Natacha Petri 